Dernièrement, tout s’est accéléré.
Je me suis sentie dans le bouillon.
Un cycle féminin intense, plein d’émotions, qui invite à lâcher-prise ce qui ne nous sert plus.
Une tentative d’auto-sabotage de ma réussite financière, basée sur mon manque de discernement du succès au féminin.
Une remise en question de ma parentalité d’un enfant porteur de handicap qui a ravivé mes blocages, mes peurs, ma culpabilité.
Un nouveau diagnostic pour le suivi de cet enfant EXTRA ordinaire qui m’oblige à trouver en moi les ressources pour l’accompagner au mieux.
Une prise de conscience que les cases que j’essaie de remplir me bloquent dans mon développement.
La peur d’en faire trop et de perdre mon authenticité.
Ces deux nuits à ne pas vraiment dormir et comprendre que l’épuisement mental est bien là.
Mais ne pas paniquer.
Accepter que demain est un jour nouveau.
Que ce qui est en train de se passer fait partie du processus.
Le renouveau d’un monde demande l’anéantissement du précédent.
Être reconnaissante de vivre ce moment en conscience.
Vivre la chute de son ancien moi sans vouloir retenir ce qui a été.
Pleurer.
Faire face à ses failles.
Écrire.
Se recueillir.
Et puis jouer de la musique en famille.
Se reconnecter aux autres.
Ceux qui vous aiment de manière inconditionnelle.
Se reconnecter à soi.
Et se retrouver plus pure, plus authentique, plus sereine.
Le bouillon s’est calmé.
Ça aura duré 5 jours.
Ressentir l’énergie de cet arbre m’a rebranchée, reconnectée.
« Désolé, pardon, merci, je t’aime ».
La résilience est possible si tu pratiques la gratitude chaque jour qui passe.
Avec Amour
L'Abondance Heureuse 